La route vers l’or est pavée de cuivre : le cuivre antimicrobien élimine 99,9 % des bactéries présentes sur les équipements d’exercice
Tous les athlètes craignent de tomber malades pendant une période critique d’entraînement ou avant des compétitions importantes. Pourtant, le désir des athlètes de protéger leur santé physique et d’éviter les germes est souvent en contradiction avec la réalité de leur mode de vie puisqu’ils passent beaucoup de temps dans des installations comme les gymnases et les centres d’entraînement où les contacts sont élevés. De plus, les athlètes voyagent énormément et changent fréquemment de fuseau horaire.
Pour la plupart d’entre eux, ce mode de vie signifie qu’ils se concentrent à « contrôler ce qu’ils peuvent contrôler » et acceptent que d’autres éléments, comme le comportement et les habitudes de santé des autres personnes, sont hors de leur contrôle.
Les athlètes qui s’entraînent à l’Institut canadien du sport de l’Ontario (ICSO) et à l’Institut canadien du sport de Calgary (ICSC) bénéficient désormais d’une protection supplémentaire contre les maladies grâce au cuivre antimicrobien du programme Cuivre et santé de Teck, commanditaire du COC, qui est désormais utilisé sur les équipements d’exercice à contact élevé, ainsi que sur les poignées de porte et les loquets des toilettes.
Le cuivre est un antimicrobien naturel, ce qui signifie qu’il tue en permanence 99,9 % des bactéries. Grâce à ces propriétés naturellement antimicrobiennes, le cuivre peut contribuer à enrayer la propagation des germes et des bactéries d’une personne à l’autre sur les surfaces publiques à contact élevé, telles que les poignées de porte, les poteaux de transport en commun ou les équipements d’exercice.
« À l’ICSO, la sécurité est une préoccupation fondamentale et une priorité pour tous les athlètes avec lesquels nous travaillons, assure Sheldon Persad, scientifique du sport et conseiller principal, rendement des activités à l’ICSO. Grâce à notre partenariat avec le Comité olympique canadien et Teck, nous avons pu revêtir tous nos haltères, barres d’entraînement et kettlebells de cuivre antimicrobien afin de créer un environnement plus sécuritaire pour les athlètes avec lesquels nous travaillons. De plus, nous nous soucions des autres personnes, y compris les membres de l’équipe de l’ICSO, de sorte que toutes nos poignées de porte ont le même revêtement en cuivre antimicrobien. »
Selon Persad, la réaction des athlètes a été formidable : « Ils sont extrêmement reconnaissants que nous ayons fait un pas de plus pour créer un environnement plus sécuritaire. »
C’est certainement le cas du duo olympique canadien de danse sur glace, Piper Gilles et Paul Poirier, qui s’entraîne fréquemment à l’ICSO.
Paul Poirier aurait souhaité que de telles mesures de protection soient mises en place tout juste avant Beijing 2022, car lui et Piper vivaient dans ce qu’il décrit comme un « état constant de paranoïa » à l’idée de tomber malade avant les Jeux.
« Je pense que c’était la période la plus stressante de ma vie. Tout reposait sur le fait que nous ne tombions pas malades. Nous avons pris toutes les précautions possibles, mais je pense qu’un revêtement de cuivre antimicrobien sur l’équipement nous aurait donné un peu plus de tranquillité d’esprit », explique Poirier.
En tant qu’athlètes d’hiver, Poirier et Gilles expliquent qu’ils sont toujours dans une période essentielle d’entraînement pendant la saison du rhume et de la grippe et que le fait de s’entraîner dans un environnement communautaire augmente drastiquement les risques de tomber malade.
« Nous avons mis en place des stratégies. Par exemple, nous avons deux vestiaires, alors si l’un des athlètes avec lesquels nous nous entraînons est malade, nous essayons de le placer dans un vestiaire distinct, explique Gilles. Toutefois, cela ne nous aide pas avec les espaces communs, comme le gymnase. »
En ce début d’année, Gilles et Poirier sont reconnaissants de cette protection supplémentaire. « Toutes les précautions que nous pouvons prendre nous permettent d’avoir l’esprit tranquille », relate Poirier.
L’athlète olympique de voile Sarah Douglas est tout à fait d’accord. Même si ses compétitions ne se déroulent pas pendant la saison du rhume et de la grippe, elle s’expose souvent à des germes puisqu’elle voyage plus de 150 jours par année.
« C’est formidable d’avoir installé le cuivre antimicrobien parce qu’il réduit le stress lié à la santé et à la sécurité quand je m’entraîne à l’ICSO, explique Sarah Douglas. Au-delà de tout cela, cet ajout aide à apaiser notre cerveau et à ne pas s’inquiéter constamment. »
Teck est le commanditaire national des mines et métaux d’Équipe Canada et est fier de soutenir les athlètes par le biais d’initiatives telles que son programme Cuivre et santé qui s’engage à sensibiliser et à utiliser le cuivre antimicrobien dans les soins de santé et les espaces publics afin de réduire la propagation des infections. Teck et le Comité olympique canadien travaillent ensemble depuis les Jeux de Vancouver 2010. Dans le cadre de son programme Cuivre et santé, Teck a financé l’installation de cuivre antimicrobien sur les surfaces à contact élevé dans les espaces publics, y compris les transports en commun, les établissements de santé, les universités, les garderies, les musées et l’aéroport international de Vancouver.
« Les clients des transports en commun, les étudiants, les familles qui envoient leurs enfants à la garderie et les athlètes qui utilisent cet équipement de gymnastique nous font part de leur soulagement, indique Catherine Adair, responsable du développement communautaire chez Teck. Nous faisons tous de notre mieux pour rester en bonne santé et protéger les autres grâce à des stratégies telles que le lavage des mains et la propreté des surfaces. Le cuivre antimicrobien ajoute une couche supplémentaire de protection pour aider les gens à rester en sécurité. »
« Nous savons que nous pouvons donner le meilleur de nous-mêmes quand nous sommes heureux et en bonne santé », conclut Piper Gilles.