Phil Brown
Biographie
Aux Championnats du monde de 2015, Phil Brown a aidé l’équipe canadienne à remporter la médaille d’argent de l’épreuve par équipes qui fera son entrée au programme olympique à PyeongChang 2018. L’année d’avant, il a participé pour la première fois aux Jeux olympiques de Sotchi 2104 où il a terminé parmi les 20 premiers de l’épreuve de slalom.
Phil a fait ses débuts en Coupe du monde en janvier 2012, il a continué à évoluer sur le circuit Nor-Am. En 2012-2013, il a terminé 1er au classement général de slalom du circuit NorAm en slalom géant, grâce à une victoire lors de la dernière course de la saison, et 2e au classement général de ski alpin. En 2016-2017, il a été champion du classement général de la Coupe NorAm en plus de finir au sommet du classement du slalom géant. Il a participé à ses premiers Championnats du monde FIS en 2013, obtenant une 35e place en slalom géant. Il faisait également partie de l’équipe canadienne qui a terminé au pied du podium, avec une 4e place à l’épreuve par équipes.
Lors de la saison 2016-2017, Phil a réussi son meilleur résultat en Coupe du monde en carrière en terminant au 21e rang du slalom géant de Soelden, en Autriche, en octobre 2014. Il a signé une performance exceptionnelle aux Championnats du monde juniors FIS de 2011, méritant la médaille de bronze au combiné, en plus de terminer au 7e rang au superG et au 10e rang en slalom. À PyeongChang 2018, Philip brown termine au 27e rang du slalom géant, et se rend en huitièmes de finale à l’épreuve mixte par équipes. Il termine 22e en slalom.
À propos de Phil
Débuts : Il a appris à skier à l’âge de 3 ans. Il a pris part à ses premières compétitions à l’âge de 8 ans. Au delà du ski alpin : Il aime pratiquer d’autres sports, dont le hockey, le vélo de montagne, le golf, le volleyball et le ski nautique. On le surnomme Downtown Phil Brown, Philly et Brownie. Il est associé avec la Fondation Nik Zoricic; ce dernier était un de ses amis d’enfance, et son père Bebe a été son entraîneur alors qu’il était jeune et une des raisons pour lesquelles il est devenu plus sérieux à l’égard des compétitions de ski. Il admire l’éthique de travail et le professionnalisme d’Erik Guay. Citation favorite : « Le regret et la peur sont deux voleurs qui s’en prennent à nous aujourd’hui. » – Robert J. Hastings. Alors qu’il avait 10 ans, sa famille a pris des vacances pour assister aux Jeux olympiques de 2000 à Sydney, et ils faisaient partie des rares Canadiens présents dans les estrades lorsque Daniel Igali a remporté sa médaille d’or en lutte. Il a subi une opération chirurgicale à la hanche en 2015, ce qui l’a mené à passer trois mois en béquilles et à faire six mois de réadaptation, mais il n’a manqué aucune course.
Faits saillants olympiques
Jeux | Sport | Épreuve | Rang |
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Sotchi 2014 | Ski alpin | Slalom - hommes | 20 |
Sotchi 2014 | Ski alpin | Slalom géant - hommes | 29 |
PyeongChang 2018 | Ski alpin | Slalom géant - hommes | 27 |
PyeongChang 2018 | Ski alpin | Jeux olympiques d'hiver | 9 |
PyeongChang 2018 | Ski alpin | Slalom - hommes | 22 |
Palmarès international
Jeux olympiques d’hiver : 2018 – 27e (SL), 9e (mixte par équipes), 22e (slalom); 2014 – 20 e (SL), 29 e (SG)
Championnats du monde FIS : 2017 – Ég. 5 e (par équipes), 1 ABN (SL), 2 ABN (SG); 2015 – ARGENT (par équipes), 22 e (SG), 1 ABN (SL); 2013 – 35 e (SG), 1 ABN (SL)